Association Les amis de l'ouvrages de frassinéa
Dates, horaires et tarifs Particuliers
* Le fort est ouvert d'avril à octobre, le samedi après-midi entre 14h et 17h
* Entrée libre
Groupes
* Pour les groupes, rendez-vous possible en semaine les après-midis (cf renseignements et réservations)
* Tarif de 3€ par personne
L’association se réserve le droit de modifier les dates et heures d’ouvertures en cas de force majeur.
Prenez toujours contact avec l’association avant de vous déplacer(Cf. renseignements et réservations).
Les fermetures exceptionnelles sont affichées dans la page d’accueil de ce site dans la rubrique actualités.
Accès
* Le fort se situe 2,5 Km avant le village de Saint Sauveur sur Tinée, en bordure de la route départementale 2205.
Renseignements / réservations
Par courrier : Les amis de l’ouvrage Maginot de la Frassinéa
Mairie de Saint Sauveur sur Tinée
06420 Saint Sauveur sur Tinée
Par téléphone : 04.93.02.00.22
Par fax : 04.93.02.05.20
Par e-mail : contact@frassinea.asso.fr
Association Edelwiss/Armée des Alpes
Edifié entre 1883 et 1886, le fort du Barbonnet domine la cuvette de Sospel à 847 mètres d'altitude. Le rôle de cet ouvrage, qui comprenait le fort Suchet, était de verrouiller la vallée de la Bévéra. Le fort est composé d'une artillerie puissante dotée de deux tourelles cuirassées en fonte dure, de deux pièces du même calibre de rechange, de 10 pièce de 95 mm réparties sur cinq emplacements, d'un mortier pour la défense rapprochée. La zone de stockage permettait à la garnison de soutenir un siège d'une durée d'environ six mois.
Au col St jean - Route de Nice-Sospel d2204
Site historique et panoramique (847 m) sur la bataille des Alpes de juin 1940, du Massif de l'Authion à la méditerrannée.
Visites guidées à 15h le samedi 07 juillet 2018, dimanche 15 juillet 2018, samedi 28 juillet 2018, samedi 04 août 2018, dimanche 19 août 2018 et samedi 25 août 2018.
Possibilité de visites de groupes sur réservation.
Contacts:
René Teller 06 84 01 47 19
Patrice Garcia 06 79 66 76 61
Richard Lavalle 06 20 37 38 27
Tarif 6 €.
Gratuit pour les - 18 ans
Fort Saint Roch :
Cité historique en bordure du Parc du Mercantour, la ville de SOSPEL est un des sites Maginot le plus fortifié de France. Le musée du fort St Roch vous fera découvrir une des générations les plus modernes de fortifications, 5000 m3 de béton et 385 tonnes d’acier ont contribué à édifier cette forteresse.
Ouvert tous les jours sauf le lundi en juillet et août de 14h00 à 17h30. Ouvert le week-end et jours fériés de 14h00 à 17h30 d'avril à juin et en septembre.
fort de la Revère
chef de corp lieutenant colonel Bastianneli
les cif furent répartie dans les bataillons alpins de forteresse pour les renforcés ,ont trouve par exemple des élément du cif n°1 au point fort de la Colle prés de menton
fort du Mont Chauve
chef de corps lieutenant colonel Guerin
chef de corps chef de Bataillon Gaillard
PC la Turbie, Laghet
il relévera ensuite le 10e BM sur le secteur de Sospel
Chef de corps Chef de bataillon Moreau puis Finelli
PC col saint jean
relevé en ma1940 il occupe le sous secteur Authion
PC peira cava Luceram Cabane Vieilless,Mille, Fourches la forca, Turini l'Arboin
Association EOIII Agaisen
site internet www.agaisen.fr
La présence de la tourelle dans cet ouvrage a fait de l’Agaisen un des pivots de la défense des Alpes Maritimes et sa restauration une véritable vitrine de la technologie 'Maginot'. Depuis sa construction, son entretien a été assuré quasiment continument, seuls la periode de l'occupation et l'abandon des années 1990 ont vu la tourelle se dégrader. Aujourd'hui elle est l'objet des soins attentifs des membres du groupe technique.
L’Agaisen est un ouvrage construit pour assurer le flanquement de la position de résistance (PR). Il possède une entrée, deux blocs d’artillerie, un pour le flanquement sud vers l’ouvrage de Saint Roch (Bloc n°2), un autre d’action frontale et de flanquement nord vers celui de Monte Grosso (Bloc n°3) et enfin compte tenu des possibilités du terrain un observatoire (Bloc n°4).
La construction du gros œuvre de l’ouvrage dura de 1930 à 1935. L’équipement intérieur fut réalisé de 1935 à 1937, date de la première occupation de l’ouvrage par la troupe pour un exercice. Cependant l’ouvrage fut l’objet d’aménagements et de travaux jusqu’en 1940.
Le premier engagement de l’ouvrage dans les combats eu lieu le 20 juin lors de l’offensive italienne et ne cessât qu’avec l’armistice le 25 juin à 0 h 35. Cet engagement consistât à l’exécution de tirs d’appui au profit des sections d’éclaireurs skieurs et des avants postes.
Dès la fin du conflit le service du Génie reçoit comme tâche la reconstruction des installations de l’ouvrage. A partir de la fin des années soixante le service du génie voit ses crédits diminuer et l’abandon progressif de tous les ouvrages semble inéluctable.
Seuls ceux présentant un intérêt particulier sont conservés en état de marche au titre de l’enseignement militaire, les ouvrages faisant l’objet de visites d’instruction des promotions successive de l’Ecole d’Application du Génie. L’ouvrage de l’Agaisen se trouve parmi ceux-là et bénéficiera des soins de plus en plus limités par les budgets jusqu’à la fin des années quatre-vingt.
Depuis le mois de juillet 1992 une équipe de passionnés, le Groupement technique Agaisen de l’association Edelweiss , entretien et de restaure cet ouvrage.
Depuis maintenant une décennie, un travail formidable a déjà permis de reconstruire, entre autre le groupe auxiliaire de l'usine , de remettre en état les groupes SMIM-SW, les ascenseurs des blocs et une partie de la tourelle.
D’un point de vue technique l’ouvrage représente un bel exemple de l’adaptation des standards de la CORF à la configuration particulière du terrain. Le principe de défilement des blocs actifs remplace avantageusement en montagne celui de la dispersion des organes de feux et compense la concentration quasi excessive des casemates à plusieurs étages.
Le peu de résultats des bombardements intense de juin 1940 est le meilleur témoignage de l’opportunité de cette adaptation.
Aujourd’hui l’Agaisen permet de faire découvrir une grande diversité d’équipement typique de la Maginot Alpine.
Site particulièrement bien conservé grâce au travail d'une dynamique équipe de bénévoles qui le restaurent et l'animent.
Ouvert les 2ème et 4ème dimanche de juillet et d'août. Visites commentées à 10h30, 14h30 et 16h30. Soyez ponctuels!!
Durée de la visite: 1h30, incluant les démonstrations de fonctionnement des divers équipements de l'ouvrage.
Accueil individuels et groupes (groupes à partir de 20 personnes sur réservation) : participation aux frais de 6 € demandée.
Contact: Monsieur PONCIN : Tél: 06 75 97 76 33 - www.agaisen.org
Informations : Pour les visites J-F PONCIN 04 93 89 10 58 / C.GARDAVO 04 93 88 27 56
village de ste Agnès
Le vieux village de Sainte-Agnès est accroché au flanc d'un pic qui culmine à 780 mètres en surplomb de la Méditerranée. Cette situation exceptionnelle qui lui vaut d'être 'le Village du littoral le plus haut d'Europe' a façonné sa longue histoire de promontoire fortifié. Dès le 16ème siècle, une forteresse, aujourd'hui détruite, occupa l'ensemble du site. Poste privilégié d'observation et de défense, la construction de l'ouvrage Maginot de Sainte Agnès participa au Secteur Fortifié des Alpes Maritimes (SFAM).
Le fort fut édifié entre 1932 et 1938 pour assurer la défense de la baie de Menton qu'il couvrait de sa puissance de feu.
Véritable ville souterraine creusée dans les profondeurs du rocher, le fort est dans un étonnant état de conservation qui permet aux visiteurs de se sentir en situation.
Toujours équipé de son armement d'artillerie sous casemate (canon obusier de 135 et 75, mortier de 81), son bloc sud était la casemate frontale la plus puissamment armée de toute la ligne Maginot, ce qui lui permit de tenir en échec l'offensive italienne de Juin 1940.
La centrale électrique et la salle de neutralisation contre les gaz de combat, ascenseurs et monte-charge toujours en état de fonctionnement, ainsi qu'un important casernement, rendent compte du savoir-faire déployé par les ingénieurs militaires.
• Du 1er Octobre au 30 juin
Le Samedi et le Dimanche
de 14h00 à 17h30
• De Juillet à Septembre
Tous les jours
de 10h30 à 12h30 et de 14h30 à 18h30
DU 23 DECEMBRE 2017 AU 31 DECEMBRE 2017 INCLUS
Prévoir un vêtement chaud
Pendant la fête des citrons
17/02/2018 au 04 mars 2018
de 14h à 17h30
Nom : | Glisenti 1910 |
Type : | pistolet |
Mode de fonctionnement : | semi automatique |
Année de mise en service : | 1910 |
Longueur totale : | 207 mm |
Longueur du canon : | 102 mm |
Poids à vide : | 0,860 Kg |
Calibre : | 9 mm |
Cartouches : | 9 mm Glisenti |
Vitesse initiale du projectile : | 320 m/s |
Alimentation : | chargeur de 7 cartouches |
Cadence de tir : | - |
Production totale à la fin de la guerre : |
Cette arme sera fabriquée par la Firma Metallurgica Bresciana gia Tempini et sa version simplifiée (sans sûreté de poignée) par Brixia.
Le 1910 sera en dotation officielle dans l'armée italienne pendant la première guerre mondiale puis sera abandonné dans l'entre-deux-guerres au profit des plus modernes Beretta. Cependant, il sera tout de même utilisé durant le second conflit mondial car, à l'instar de tous les pays, l'Italie aura des difficultés d'approvisionnement en armes modernes à son entrée en guerre.
Caractéristiques (mdl 34 et 35)
Longueur : 15,2 cm
Poids : 0,65 kg
Calibre : 9 mm / 7,65 mm
Capacité : 9 carouches / 7 cartouches
Vitesse initiale : 229 m/s / 244 m/s
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Ce fusil, inspiré du système Mauser, fut fabriqué à Turin, à la fin du XIX ème siècle, par S. Carcano.
Le fusil d'infanterie fut suivi, en 1893, d'une carabine de cavalerie pourvue d'une baïonnette fixe et repliable.
Les rayures du canon étaient à pas variable, allant en se resserrant de la chambre vers la bouche. Ce système fut rapidement abandonné car les avantages qu'il offrait ne compensaient pas les difficultés supplémentaires de fabrication.
La munition originelle de 6,5 mm montra sa faible puissance lors de la campagne italienne en Abyssinie en 1936. Les Italiens envisagèrent de porter le calibre de l'arme au 7,35 mm. De faibles ressources économiques combinées au déclenchement du conflit ne permirent la modification que d'une faible quantité de modèles.
Il existe donc deux versions du Carcano 1938 qui, à l'exception du calibre, ne diffèrent guère. Par rapport au modèle 1891, le modèle 1938 avait abandonné la hausse réglable au profit d'une hausse fixe réglée sur 300 mètres.
C'est un modèle 1938, acheté par correspondance et équipé d'une lunette japonaise bon marché, qui fut utilisé par Oswald lors de l'assassinat de Kennedy en 1963. Choix bien curieux car le Carcano ne se distingua jamais par sa précision...
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Caractéristiques
Longueur : 102 cm
Poids : 3,45 kg
Calibre : 6,5 mm
Capacité : 6 coups
Vitesse initiale : 701 m/s
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Le Pistolet Beretta (19)34 arma l'armée de terre italienne, de 1934 à 1980. Cette arme de poing tirait du 9mm court.En Italie, il équipait les agent de la Guardia di Finanza, les Carabiniers et la Police. Il fut également utilisé par les Roumains et la Wehrmacht durant la seconde guerre mondiale. Parmi les utilisateurs secondaires de cette armes se trouvent la Grèce, l'Espagne, la Libye, la Yougoslavie et l'Ethiopie. Le Service du matériel allemand le rebaptisa P.
modele 1934
modele 1935
Mise à l'étude dès 1933, la mitrailleuse lourde Breda 37 de 8 mm ne fut adoptée qu'en 1937 pour remplacer progressivement la Fiat mod.14/35. Distribuée aux bataillons d'infanterie ou aux unités de mitrailleurs divisionnaires ou de corps d'armée, la Breda 37 combattit sur tous les fronts lors de la seconde guerre mondiale. A partir de 1942 l'arme fut montée à bord de certains camions et camionnettes pour assurer la protection des convois contre les attaques terrestres et aériennes. L'armée italienne utilisa cette arme jusque dans les années 1970.
Ce qui explique sa longévité, c'est sa robustesse et sa précision, malgré sa fâcheuse tendance à s'enrayer si la lubrification était insuffisante et son poids jugé trop important par rapport aux réalisations étrangères de l'époque. La cadence de tir pratique était également un peu faible. Le tube de l'arme devait être changé tous les 400 à 500 coups pour le refroidir. Petite curiosité, la bande de munition conservait les douilles des balles tirées au lieu qu'elles ne soient éjectées.
Caractéristiques techniques : Calibre : 8 mm
Alimentation : bande de 20 balles
Vitesse initiale : 780 m/s
Portée utile : 500 m
Cadence de tir pratique : 250 coups/min
Refroidissement : à air
Longueur : 1,27 m
Poids : 19,4 kg sans le trépied
Arme dérivée de la conception du modèle Perino Revelli modifiée en 1910 et achevée en 1914.
L'un des plus connus de ces armes à feu utilisées par l'armée pendant la Seconde Guerre mondiale.
À refroidir le canon est placé à l'intérieur d'un manchon rempli d'eau, alimenté par deux tuyaux reliés à une serbatoio.Usava les mêmes munitions Mod.91 la carabine, placé dans un tiroir de chargement de 50 coups divisés en 10 secteurs par 5 rondes ciascuno.Nel 1935 a été fait une version améliorée de l'arme connue sous le nom Mod 35 avec les modifications suivantes: - La taille a été augmentée à 8 mm - système d'eau de refroidissement a été remplacé par l'air, --
Cadence: 500 coups min.
Alimentation: chargeur de 50 coups
Poids: avec de l'eau: kg. 22
Trépied Poids: kg. 21,500
Longeur avec trépied: 1.72 m
portée 700 - max 2500
Calibre: 6,5 mm x 56
En novembre 1918 les Italiens récupérèrent des milliers de mitrailleuses autrichiennes Schwarzlose 07/12 de calibre 8x50 mm R produites par Steyr. Cette mitrailleuse lourde mais fiable allait occuper une grande place au sein du Regio Esercito surtout dans l'entre deux guerre du fait des limites non seulement de
À ce titre on la trouve aussi bien en Libye durant la "pacification", qu'au moment de l'invasion de l'Ethiopie en 1935-1936 et chez les "volontaires" italiens pendant la guerre civile espagnole.
Ces mitrailleuses sont restées dans leur calibre d'origine ce qui obligea les Italiens à fabriquer ou plutôt à faire fabriquer des cartouches de 8 mm Steyr en particulier par la firme autrichienne Hirtenberger pendant la campagne d'Ethiopie.
Chose plus étonnante il ne semble pas, à ma connaissance, qu'aprés l'adoption de la Fiat 8 mm mod.35 les Schwarzlose aient été adaptées au nouveau calibre alors que partout ailleurs les pays qui en avaient héritées procédaient au changement en 7,92x57 Mauser pour la plupart (Tchécoslovaquie, Pologne, Roumanie, Yougoslavie et Grèce) et en 8x56 R sinon (Autriche et Hongrie).
Cela s'explique peut être par le fait que ces mitrailleuses étaient dispersées dans "l'Empire" colonial italien au sein du Regio Corpo Truppe Coloniali et leur rapatriement pour modification aurait peut être posé quelques problèmes. C'est pourquoi on les retrouve souvent sur les photos de la période 1940-45, souvent dans le butin des Alliés d'ailleurs comme à Koufra.
A la fin de la guerre, certaines Schwarzlose furent recalibrés pour pouvoir utiliser le projectile italien de 6,5 mm.
Caractéristiques techniques : Calibre : 8 mm
Alimentation : bande de 250 balles
Vitesse initiale : 580 m/s
Portée utile : 1000 m
Cadence de tir pratique : 350 coups/min
Refroidissement : à eau
Longueur : 1,10 m
Poids : 21,2 kg sans le trépied
Le fusil mitrailleur Breda mod.30 dérivait directement du Breda mod.29, qui était lui-même une variante du modèle 5C monté sur trépied. Le mod.30 resta l'arme standard du plotone fucilieride la campagne d'Ethiopie à la fin de la seconde guerre mondiale. En juin 1940, les forces armées italiennes en comptaient 34700 exemplaires dans leur ordre de bataille. Les Allemands ordonnèrent la poursuite de la production jusqu'en 1945, et les carabinieri l'utilisèrent encore durant l'après-guerre.
Le Breda mod.30 fut souvent considéré comme une arme très raffinée du point de vue mécanique, mais également très délicate d'entretien et s'enrayant facilement. Son manque de rusticité en faisait de plus une arme coûteuse, qui était inférieure aux productions étrangères en terme de calibre et de cadence de tir. L'arme était servie par trois hommes : le chef d'arme, le tireur et le porte-munitions, chargé de 300 coups.
Le Breda mod.30 pouvait être utilisé dans le tir antiaérien monté sur un pied Chiappi-Soriani, et on le trouvait également à bord de motocyclettes mais aussi des embarcations légères de la Regia Marina come les Mas et les vedettes lance-torpilles.
Caractéristiques techniques : Calibre : 6,5 mm
Alimentation : chargeur de 20 balles
Vitesse initiale : 620 m/s
Portée utile : 1000 m
Cadence de tir pratique : 150 coups/min
Refroidissement : à air
Longueur : 1,23 m
Poids : 11 kg
Désirant disposer d'une arme de soutient direct à l'infanterie lors des derniers 200 m séparant les fantassins de leur objectif, le Regio Esercito décida d'adopter le mortier Brixia de 45 mm en 1935, juste avant la campagne éthiopienne qui servit de banc d'essai à cette arme.
Le mortier Brixia fut tout d'abord assigné aux bataillons d'infanterie par peloton de 3 squadre (à raison de 3 pièces par squadra) avant d'être affecté aux compagnie fucilieri (1 squadra par compagnie). Après son intervention en Afrique Orientale, le Brixia opéra en Espagne puis sur tous les fronts de la seconde guerre mondiale où fut déployée l'armée italienne. Après guerre, il resta en service jusqu'au début des années 1950.
Le mortier Brixia était une arme capable d'interventions rapides grâce au chargeur de 10 munitions et à son système de pointage. Il pouvait effectuer aussi bien des tirs en cloche depuis des positions défilées que des tirs tendus sur les plus courtes distances. Néanmoins, ses munitions de 480 grammes contenant 70 grammes d'explosif compromettaient fortement ses capacités offensives, si bien qu'en Afrique du Nord, il fut retiré des premières lignes.
Caractéristiques techniques : Calibre : 45 mm
Longueur du tube : 72,5 cm
Vitesse initiale : 270 m/s
Portée : 500 m
Cadence de tir : de 10 à 30 coups/min
Poids total : 15,5 kg